Collection Candaulisme. Différence D’Âge. Contrat Signé, Mon Cul Y Aide (4/14)

Deuxième histoire écrit avec Anne ma muse, elle donne les idées, j’essaye de les mettre en forme au plus près de ses désirs.

• Je suis ton Maître Anne.
• Oui, Maître Christian.

C’est par ces mots que je scelle mon destin en regardant, par l’intermédiaire d’une glace, Renaud mon mari qui ne semble pas être opposé à cet état de fait.
Je viens de devenir l’amante officielle de ce jeune homme, propriétaire d’un gite, qui prend sur moi de plus en plus de pouvoir avec l’accord de celui qui ne peut plus m’honorer, mon homme.
Renaud après m’avoir vu me faire baiser, est reparti pour sa marche.

• Allons dans mon bureau, j’ai prévenu mon chef de chantier, il est prêt à attaquer les travaux si nous trouvons un accord.
• Ils n’ont pas d’autres chantiers ?
• Si, mais je leur ai fait voir l’urgence de ton projet et ils adhèrent complètement, ils m’ont dit que tu pouvais être tranquille.

C’est donc nu que nous nous installons pour pouvoir regarder l’écran de mon ordinateur.
Il me met sa main sur la cuisse, je la retire.

• Christian, notre vie doit se séparer en deux parties, la gaudriole et le travail. Quand nous travaillerons, pas de Maître ou de soumise.
Quand nous serons chez toi hors du moment ou les ouvriers serons là, vous redeviendrez mon Maître et cela toujours en présence de mon homme.
Je crois qu’il a incorporé le fait que son sexe est hors de service et que j'ai besoin d'autres mâles.
Quand tu as joui en moi, je l’ai regardé dans la glace du salon, il n’a pas bougé le moindre cil, il est devenu un parfait candauliste.

Je lui montre mes propositions pour les travaux à faire dans les chambres, pour les décorations.
Nous tombons d’accord, il apprécie beaucoup mon idée pour les plafonds dans chaque chambre, je devrais faire de même dans la sienne.
Je m’en fiche du moment qu’il paye.
C’est à ce moment que mon "marcheur" de mari est de retour, il vient dans mon bureau où il nous trouve sagement assis, bien sûr nus, à finaliser les choses.



• Renaud, nous avons fini, je suis d’accord sur tout, je lui enverrais un chèque d’acompte dès que j’aurais le devis final.
Me permets-tu de m’occuper de nouveau de ta salope de femelle ?

Je me sens prise pour une moins que rien, mais c’est très drôle, j’aime.
Du moment que sa queue qui commence à rebander vient en moi, je serai une femme comblée.

• Entièrement d’accord, Christian, j’ai beaucoup aimé quand tu lui as demandé de t’appeler Maître.
Je suis d’accord à une seule condition, c’est moi qui gère vos jeux puisque je veux toujours être présent.
Vous avez parlé de ta piscine, ce week-end, je veux la voir, tu feras ce que tu veux de cette belle salope.
• Ça tombe bien Renaud, mes ouvriers travailleront les deux jours à venir et dans ces premiers temps, je tiens à être avec eux.
• On annonce du beau temps à la météo.
• Tu pourras te faire bronzer et quand ils auront quitté le chantier, je serais à vous Maître pour le temps que vous souhaiterez m’avoir et faire de moi ce que vous voudrez.
• Renaud, cette femelle semble ne pas avoir eu son compte tout à l’heure, comment veux-tu que je la fasse passer au grill ?

J’aime que mon mari et mon amant se tutoient, cela resserre leurs liens alors que moi, quand je suis sus la coupe de mon Maître, je le vouvoierais.
Que peut-il m’arriver ici ou au manoir, à part quelques claques sur mon fessier ?
D'ailleurs, j’ai beaucoup apprécié la première fois.

• Prends-la sur son bureau, je suis d’accord, elle a le feu au cul, n’oublie pas quelques claques bien placées.
Même si je ne bande plus, je me remplis le cerveau d’images qui sont jouissives pour moi.

Moi qui étais en manque, surtout avec le gode qui me frustrait, je ratt le temps perdu.
Mais quand il me couche sur mon bureau les bras en croix, appliquant mes seins au maximum, je ne vois pas ce qu’il fait.
Il manque une glace pour que je vois ses réactions et les intentions de chacun.

Je vois néanmoins mon mari faire un signe de tête et la première volée faite avec sa ceinture claque sur mes fesses.
Un, deux, trois, quatre volées avant que je sente son sexe déjà bandé et sans que je n’aie besoin d’intervenir ou d'aide, il me perfore.
Je reconnais que j’ai souvent joui du temps de la splendeur de Renaud, mais là, c’est au centuple qu’un orgasme monte en moi.
Est-ce que je suis née pour finir soumise à ces deux hommes ?
Mon amant veut ouvrir un gite libertin mais jusqu'où leur libertinage va-t-il aller ?
Le plaisir d’être fouettée et d’être déchirée me semble de plus en plus nécessaire.
Christian aurait-il découvert pourquoi je suis venue sur terre, l’avenir me le dira.
C’est toujours aussi froidement que mon mari laisse tomber un ordre, bien sûr sans intervenir.

• Christian retourne là, quand je vais me coucher ce soir, je tiens à ce que ses seins soient aussi rubicons que son cul, cette salope mérite bien cette petite attention.

Le temps qu’il me retourne, qu’il récupère sa ceinture, les coups commencent à tomber, frappant juste sur l’une de mes pointes.
S’ils m’entendent quand je hurle, les voisins doivent penser que l’on m’égorge.

• Christian, bâillonne ma pute de femme avec sa culotte bleue qui est tombée au sol.

Christian s’exécute.
Rapidement ma bouche est entravée et le deuxième coup me parvient.

• Meux, meu, meu.

Je veux leur dire d’arrêter que cela fait mal, mais rien ne l’arrête, seule ces bourriques de mots sortent de ma bouche obturée par ma culotte.

• Cause toujours, tu nous intéresses, tu es magnifique avec ce morceau de tissu dans ta bouche.

Combien de fois la ceinture s’abat sur mon corps ?
J’ai glissé au sol, les coups pleuvent chaque fois que j’essaye de me protéger.
Je pars le coup à droite, il touche un autre endroit, j’ignorais que l’on pouvait avoir aussi mal.

Mais au bout d’un moment, la douleur s’estompe, je serais de mauvaise foi mais je commence à apprécier les coups me pleuvant dessus.
Si mon Maître le souhaite et qu’il trouve que je le mérite, malgré notre différence d’âge, tout ce qui vient de sa main sera bienvenue.

• Assez, elle a son compte.
Soulève-lui le cul et enfile là.

J’ignore ce qu’il me fait à partir de ce moment et je m’en fiche.
Quand je lève légèrement la tête, je vois le dernier contrat que j’ai mis à l’écran, le nombre de zéros derrière le premier chiffre vaut bien quelques coups de ceinturon.
Il me prend une nouvelle fois la chatte.
J’étais prête, s’il l’avait voulu, à lui abandonner ma rosette, tellement je suis heureuse d’avoir réussi cette opération primordiale pour mes affaires.
Quel con d’avoir obéi à mon mari qui reste là à nous regarder.
Si j’avais pu lui dire ce que je veux, en ce moment, il serait dans mon cul et je suis certaine que j’en redemanderais.

• Putain, ma femme est une vraie salope.
Si je t’avais connu plus tôt Christian, nous aurions pu la prendre en double pénétration, hélas ma queue n’est plus bonne qu’à me faire pisser.
• Ça va revenir, je ferais tout pour que tu retrouves ta virilité Renaud.
Regarde les grands coups de sexe que je lui donne, ça la fait pleurer de plaisir, son Rimmel a coulé, on dirait qu’elle a une tête de sorcière.
Pour te remercier de ce bon moment, vendredi soir, rejoins-nous à mon manoir, ils annoncent un temps magnifique, nous passerons de bons moments tous les trois, tu verras.
En plus, toi qui aimes marcher, nous ferons monter notre petite chienne au sommet de la roche de Solutré.
À cette époque, nous serons surement seuls, et nous pourrons la précipiter au bas de la roche pour voir si elle sait voler mieux que volaient les chevaux.

J’espère qu’il plaisante.
Si je comprends bien, il souhaite que je devienne un cheval pour récupérer ma viande après cette magnifique chute !
Pourquoi ne me demanderaient-ils pas de faire un saut de l’ange, pendant qu’ils y sont.

Dans quelques millénaires on retrouvera mes ossements mélangés à ceux des chevaux, posant un problème aux archéologues.

En attendant et en entendant le grand éclat de rire que les deux hommes échangent, mon corps va plutôt vers les sommets de la roche que vers le sol.
Je sens son sperme m’inonder, c’en est trop, une nouvelle fois, je tourne de l’œil.
Quand je reprends pied, j’entends du bruit dans la cuisine.
Je me relève, je passe dans le salon, la glace me renvoie l’image d’une femme hirsute, zébrée de partout.
Les deux garçons sont attablés, ils saucissonnent avec le saucisson de Lyon que j’ai acheté hier.
Ils ont une bouteille de rouge.
J’ai toujours la culotte autour de ma bouche, je tire à me faire mal et elle craque.
J’ai une soif à boire toute l’eau de la piscine de Christian, je prends la bouteille de rouge et je commence à siroter.

• Anne, stop, tu vas vider la bouteille du domaine de Christian, c’est marrant, j’en avais fait livrer six bouteilles sans savoir que je rencontrerais le propriétaire des raisins aujourd’hui.

Ils récupèrent leur bouteille.
Connaissant Renaud, les affaires vont aller très fort entre eux et si mon amant à des problèmes de commercialisation, il a trouvé celui qui va tout lui régler.

• Viens là ma belle, j’ai trouvé un tube de pommade cicatrisante dans notre pharmacie.

Je m’assieds, Christian s’est rhabillé.
Un dernier baiser et je les quitte allant me coucher, attendant que mon mari vienne me mettre son baume sur la plus grande partie de mon corps.
Je devrais téléphoner à mon chef de chantier, mais avant que je n’aie compté jusqu’à cinq, je tombe dans un puits sans fond…

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